Doucement , elle s éveille

Sous tes doigts qui font des merveilles

Pourtant elle se frissonne de tes caresses

Elle se donne telle une maitresse

Facile, docile elle se laisse manipuler

A ta bouche qui tendrement vient l’embrasser

Sent comme elle devient brulante

Sous ta langue qui lentement vient la lécher

Aussitôt elle s étend pour se recroqueviller

Elle s échappe pour ne pas se perdre de toi

Mais très vite, elle ne veut plus que tes doigts

Elle se languit de chaque caresse donnée

Elle transpire de ta paume de main veloutée

Ah ! La voila qu’elle s offre coquine

Pour te laisser encore mieux la faire «  ta sublime »

Vois comme elle se laisse envahir de toi

Elle apprécie chaque cadeau qu’elle reçoit

Emporte-la vers ton ciel de jouissance

Quand enfin tu l auras apprivoisé avec patience

Rien n est plus tendre que ta peau collée a la mienne

Alors veux tu encore me faire tienne ?

                                                                                                                                                               Isabelle ☆¸.•`¯)¸.•

 

 

 

 

Tant de choses à se dire encore

Se plaire, se complaire, se satisfaire
d’Insouciance, d’absence, d’espérance
On se dévore, on s’évapore en douce
De confidences en méfiance
Alors qu’on a tant d’choses à se dire encore

D’amertume en joie, de chagrin en émoi
On se mélange, on s’échange
Des mots doux, des mots flous
Des phrases murmurées dans un souffle fou
Alors qu’on a tant d’choses à s’dire encore

Comme un écheveau de laine que l’on tisse
Fil à fil sur les jours qui passent , s’enlacent
S’éprendre, S’apprendre, se surprendre
Penser qu’on pourrait se perdre un matin
Alors qu’on a tant d’choses à se dire encore

De nos détresses à nos ivresses
De ces plaisirs, de ces douceurs qu’on croit
Inaccessibles, tant ces silences troublants,
Dans nos jardins vides du plein retenu
Alors qu’on a tant d’choses à se dire encore

Toute cette douleur que l’on sait et redoute
L’attente vaine ou sereine de ce jour
Où je parlerais la même langue que toi
Où tu parleras la même langue que moi
Alors qu’on a tant d’choses à se dire encore

                                                                                                                              Isabelle ☆¸.•`¯)¸.•

 

 

 

 

Tel un ange déchu je vous entraînerai sur le chemin de la perversité
Satisfaction, plaisir et jouissance je vous donnerai
Obéissance je vous témoignerai
Et votre favorite je deviendrai.

A ma place vous me remettrez
Votre domination me rappellerez
De vos mains vous me punirez
D’avoir su, subtillement vous combler.

                                                                                                                                                    Isabelle ☆¸.•`¯)¸.•

 

Pas de mots !!!

tout ce trouve dans cette vidéo

 

 

 

                                                                                                                                                                                                                        Isabelle ☆¸.•`¯)¸.•

 

 

Une feuille rouge tombante d’un arbre
se faisant pousser par les vents.
De mes yeux attristés, je la regarde
parcourir son trajet, agonisante.

Elle se dépose sur la froideur du marbre
dans son tourbillon chemin faisant,
pour être tassée d’une main bavarde
et être piétinée sous les pas des passants.

Elle aurait préféré une vie campagnarde
en mon coeur blessé arrivant,
et se faire éternelle et bonne garde
entre les pages de mes livres d’enfants.

                                                                                                                Isabelle ☆¸.•`¯)¸.•

 

 

 

 

J’ai trouvé cette clé,
D’une serrure invisible
Mais pourtant bien scellée
Qui mettait mon c½ur sous vide.
Un peu de poussière de joie,
Une larme de bonheur
C’est un sourire qui se voit
Un chagrin qui meurt.

                                                                                      Isabelle ☆¸.•`¯)¸.•

 

 

Ma vie est rose, enfin à ce qu’il parait
Mais je la vois noire c’est la vérité
Pourtant le ciel est bleu dans mon entourage
J’ai l’impression qu’il est gris est-ce un mirage?

Ma bague change de couleur
En fonction de mon humeur
Elle est verte foncé
C’est que je suis désespérée.

Mais elle varie tous les jours
Car je ne sais sur quel pied danser
Aujourd’hui c’est violet
Puis elle vire au rouge, couleur de l’amour.

Ce texte est de KELKUNE (http://kelkune.bloxode.com)

 

                                                                                                               Isabelle  ☆¸.•`¯)¸.•

 

 

  

L’apparance est une image faussée
Qui cache une personnalité

Le miroir de notre existence est parfois trompeur
Pour ceux qui cherchent notre intérieur

Votre regard sera celui qui saura dévoiler
Une vraie valeur , une sensibilité

Prenez le temps de regarder au-delà de vos sens
Derrière le masque se trouve la différence !

 

                                                                                                                                            Isabelle ☆¸.•`¯)¸.•

 

 

 

Ouvre les yeux a la vie
Ouvre les yeux sur le monde
Personne n’est parfait
On a tous nos defauts nos qualités
 
Ouvre les yeux sur ta vie
Ouvre les yeux sur ceux qui t’entourent
Regarde autour de toi
Les gens heureux et les gens tristes
 
Ouvre les yeux
La vie est trop courte
Pour ne pas en profiter
Ouvre les yeux
 
Ouvre les yeux au bonheur
Ne passe pas a coté
Tout est ephemère
Profite en vite
 
Ouvre les yeux ne regarde pas en arrière
Ouvre les yeux va de l’avant
Combien de temps te reste t’il
Pour profiter de la vie
 
Ouvre les yeux
sans te poser de question
Vie au jour le jour
Sans penser au lendemain
 
Ouvre les yeux
Ne tourne pas le dos a l’amour
Peu etre es ce le dernier
Que tu aura
 
Ouvre les yeux
Ouvre ton coeur !!!!

 

                                                                                                     Isabelle ☆¸.•`¯)¸.•

 

 

la salle s’alluma,tu etais contre moi blotti
nos mains serrées et nos doigts enlacés,engourdis
dans le reflet de tes yeux,je ne percevais
que les dernières images qui lentement disparaissaient.
ton coeur sur ma poitrine,le mien contre la tienne
dans cet ultime baiser,je te voulais mien
de nos battements sourds et paisibles
se lisait dans tes yeux une sérénité perceptible.
nous ne vimes pas mème se vider la salle
là,ou nous venions seulement de faire escale
j’aurais voulu que ce film ne cessa jamais
car nos pulsions et desirs a l’unisson étaient.
ce fut dans le noir le plus complet
qu’une dernière fois je t’embrassais
comme si pour nous la fin du film
devait se finir comme un poème sans rime.

                                                                                                                                   Isabelle ☆¸.•`¯)¸.•